Sans rien dans la tête pour écrire, les jours passent, plus j´ y pense et plus mon envie de crier viens en moi.
Une pensée obscure me surgis de nul part, pauvre humanité, tu n es rien et tu te prend pour quelqu’un.
Il te regarde de haut comme si intouchable il était, regarde toi pauvre humain, virus de ta propre vie.
Tu parles et tu parles, sans parler, sans rien dire, tu t´ exprime, tu lance des mots, mais personne ne t écoute.
Faire voir que tu existe, que t´ as place est bien parmi eux, en vain, mais tu cris pour crier, mais rien.
Sans espoir et sans regret, tu abandonne ton effort, tu arrête un instant à bout de souffle pour voir.
Voir la différence, là est ta réponse, la différence de pouvoir voler de tes propre ailes sans souffrance.
Et tu penses, pensent sans rien dire, le silence défois veux touts dire, un silence si profond, si long.
Que même ceux qui ne te voyaient pas, se demande? Lá ! tu les observent tu devine, tu lis leurs pensées.
Leur mots sortent de leurs petites cervelles et de leurs supériorité superficiel, imaginaire, inutile et sans joie.
Tombe, tombe comme un mur de brique, sans remors tu te dessine, tu te rends forts et invincible comme le néant.
Se néant que tu deviens, sans contrôle, deviens ton arme, ta victoire, par où tu passes ton enveloppe ton karma.
Abime, prend place, occupe leurs espace, les incommodes, ils en ont même peur.
Devenir comme eux tu voulais, un model triste et gris, une farce, une vie de mensonge et de moquerie.
La différence est la toutes la réponse.
Une pensée obscure me surgis de nul part, pauvre humanité, tu n es rien et tu te prend pour quelqu’un.
Il te regarde de haut comme si intouchable il était, regarde toi pauvre humain, virus de ta propre vie.
Tu parles et tu parles, sans parler, sans rien dire, tu t´ exprime, tu lance des mots, mais personne ne t écoute.
Faire voir que tu existe, que t´ as place est bien parmi eux, en vain, mais tu cris pour crier, mais rien.
Sans espoir et sans regret, tu abandonne ton effort, tu arrête un instant à bout de souffle pour voir.
Voir la différence, là est ta réponse, la différence de pouvoir voler de tes propre ailes sans souffrance.
Et tu penses, pensent sans rien dire, le silence défois veux touts dire, un silence si profond, si long.
Que même ceux qui ne te voyaient pas, se demande? Lá ! tu les observent tu devine, tu lis leurs pensées.
Leur mots sortent de leurs petites cervelles et de leurs supériorité superficiel, imaginaire, inutile et sans joie.
Tombe, tombe comme un mur de brique, sans remors tu te dessine, tu te rends forts et invincible comme le néant.
Se néant que tu deviens, sans contrôle, deviens ton arme, ta victoire, par où tu passes ton enveloppe ton karma.
Abime, prend place, occupe leurs espace, les incommodes, ils en ont même peur.
Devenir comme eux tu voulais, un model triste et gris, une farce, une vie de mensonge et de moquerie.
La différence est la toutes la réponse.
Comentários
Puxa... eu tenho me sentido assim ultimamente. Eu me sinto num mar de hipocrisia. Algumas vezes as pessoas falam tao bonitinho e pouco fazem de fato. Não é a toa que o Brasil está lá atrás na escala de solidariedade... Estou numa fase meio que introspecta, este texto mexeu com o que está calado, escondido dentro de mim!
beijos